Critique

« Resident Evil 4 Remake» : horreur spectaculaire avec une pointe d’humour

Philipp Rüegg
24/3/2023
Traduction : Martin Grande
Collaboration: Domagoj Belancic

Capcom accorde une révision complète à son prochain classique. Le remake du jeu d’action/horreur n’a pas perdu les particularités qui ont fait sa réussite à l’époque.

Je regrette de ne pas avoir acheté le jeu pour ma Gamecube, à l’époque. Depuis, j’attends l’occasion de combler cette lacune professionnelle. Avec le remake, elle est enfin arrivée.

Une formule toujours gagnante

L’histoire de Resident Evil 4 se déroule quelques années après les événements de ses prédécesseurs. J’endosse le rôle de Leon S. Kennedy, que j’ai connu dans le deuxième jeu. Depuis, il a commencé à travailler pour le gouvernement et il est actuellement en mission pour libérer la fille du président américain des griffes de Los Illuminados. Les adeptes de cette secte sont des zombies dans cet épisode.

De l’action non-stop

Disponible sur PC, PS4, PS5, Xbox One, Xbox Series. Le jeu m’a été mis à disposition par Capcom.

Cet article plaît à 18 personne(s)


User Avatar
User Avatar

Enfant, je n’avais pas le droit d’avoir de console. Ce n’est qu’avec l’arrivée du PC familial 486 que le monde magique des jeux vidéo s’est ouvert à moi. Aujourd’hui, je compense largement ce manque : seuls le temps et l’argent m’empêchent d’essayer tous les jeux qui existent et de remplir mon étagère de consoles rétro rares. 


Gaming
Suivez les thèmes et restez informé dans les domaines qui vous intéressent.

Critique

Quels sont les films, séries, livres, jeux vidéos ou jeux de société qui valent vraiment la peine ? Recommandations basées sur des expériences personnelles.

Tout afficher

Ces articles pourraient aussi vous intéresser

  • Critique

    L'épopée stratégique revisitée : "Final Fantasy Tactics : The Ivalice Chronicles".

    par Rainer Etzweiler

  • Critique

    Brutal, sanglant et difficile : test de « Ninja Gaiden 4 »

    par Domagoj Belancic

  • Critique

    "Pac-Man World 2 : Re-Pac" - Un appât nostalgique sans mordant

    par Rainer Etzweiler