Whatsapp teste les réactions par emoji pour les messages
Whatsapp veut introduire les réactions par emoji. La messagerie ne teste toutefois cette fonctionnalité qu'auprès d'un petit nombre d'utilisateurs Android. On ne sait pas encore quand elle sera disponible pour le grand public.
La filiale de Meta teste actuellement une nouvelle fonction qui permet aux utilisateurs de répondre plus rapidement aux messages. Selon le portail en ligne WABetainfo, certains utilisateurs bêta de l'application Android peuvent depuis peu réagir aux messages avec des emojis.
En maintenant une pression prolongée sur un message sélectionné de leur interlocuteur, les utilisateurs bêta peuvent désormais réagir avec un like, un cœur, un visage souriant, étonné ou en pleurs, ou encore avec les mains en prière. L'emoji apparaît directement sur le message et non comme message dans l'historique du chat.
Plus tard que les autres
Whatsapp compte deux milliards d'utilisateurs dans le monde, ce qui en fait le plus grand service de messagerie au monde. Il n'est toutefois pas le premier service de messagerie à vouloir proposer la fonction de réaction.
Sur Facebook Messenger, Meta a déjà introduit les réactions par emoji en 2017. L'iMessage d'Apple, Google Messages ou Microsoft Teams proposent également des réactions directes. Chez Telegram, des réactions animées aux messages sont même possibles depuis décembre dernier.
On ne sait pas encore quand la nouvelle fonctionnalité sera mise à la disposition de tous les utilisateurs. L'expérience montre que cela devrait arriver dans les mois à venir - à moins que le test ne fasse complètement renoncer Whatsapp à cette idée.
« Je veux tout connaître ! Je veux des bas terrifiants, des hauts enivrants, des milieux bien moelleux ! » : ces mots d'un personnage culte de la télévision américaine reflètent pleinement mes pensées. Je partage cette philosophie de vie, y compris au travail. Ce que cela signifie concrètement pour moi ? Je trouve que chaque histoire, de la plus insignifiante à la plus incroyable, a son charme.