Trailer Tuesday : voici les films préférés de la rédaction

Luca Fontana

28/4/2020

Les films préférés de la rédaction ? Je me suis renseigné. Et ai obtenu des résultats. Des choses intéressantes, mais aussi assez déroutantes pour certaines. À vous de décider qui a les meilleurs goûts.

Quels sont les films préférés de la rédaction digitec et Galaxus ? J'ai fait mes recherches. Les résultats ? Il y a de tout Le spectre est large, mais grandiose. Et si vous en avez envie, vous pouvez, au bas de l'article, voter pour savoir qui a le meilleur goût en matière de cinéma.

À ce propos, la semaine dernière, je vous ai demandé quel était votre film préféré. Le gagnant est « Interstellar » de Christopher Nolan. Il est officiellement le film préféré de la communauté digitec et Galaxus.

Bon, Voyons ce que la rédaction a à offrir.

Dominik : Escape from New York

J'avais cinq ans, la première fois que j'ai entendu « Call me snake » de la bouche de Kurt Russell. Snake Plissken est le premier antihéros dont je me souvienne. Je trouvais que l'homme en pantalon militaire avec ses bottes de motocross et son cache-œil était tellement cool qu'il est encore mon personnage de film préféré aujourd'hui.

Le cynisme du film « Escape from New York », les implications et le cadre historique ne m'ont paru évidents qu'au fil des ans, à l'occasion du 100e anniversaire du film. Snake Plissken est et reste le personnage de film qui m'a le plus marqué.

Sortie en salle : 10 juillet 1981
Recette : 25,2 millions de dollars

Phil : Clerks

Clerks est la première œuvre du réalisateur Kevin Smith, qui joue également un membre du duo culte Jay et Silent Bob.

Le film se déroule principalement au Quick Stop du mini-supermarché et au magasin de vidéo adjacent. Les deux vendeurs sont les meilleurs amis et ont des conversations philosophiques sur les ouvriers non impliqués sur l'Étoile de la mort ou sur le nombre de pipes à ne pas dépasser. Le film vit presque exclusivement des personnages et de leurs dialogues inhabituels.

Visuellement, il y a peu à voir, c'est pourquoi le film est aussi en noir et blanc. Mais si vous aimez les discussions bizarres et les histoires absurdes, n'hésitez pas à regarder Clerks.

Sortie en salle : 19 octobre 1994
Recette : 3,1 millions de dollars

David : The Big Lebowski

Une fois, je l'ai regardé trois fois de suite en un après-midi. Après cela, je connaissais une grande partie des dialogues par cœur. C'était il y a longtemps, mais comme je n'ai jamais réitéré cette expérience, ce doit être mon film préféré. De plus, j'ajouterais : « The Dude abides.

Yeah, well, you know, that’s just, like, my opinion, man. »

Sortie en salle : 6 mars 1998
Recette : 46,7 millions de dollars

Natalie : Johnny English

Mon film préféré ? « Johnny English » – le premier. Au cinéma, je riais aux larmes et cela m'arrive encore quand il passe à la télévision. J'ai même donné le nom de la star secrète du film à mon animal en peluche : Agent Bough. En revanche, la suite du film ne vaut pas la peine d'être vue. Elle est encore plus loupée que les tentatives de Johnny de dissimuler son manque de qualification en tant qu'espion sous une arrogance feinte. La troisième partie en revanche est à nouveau regardable.

Sortie en salle : 9 avril 2003
Recette : 160,5 millions de dollars

Raphael : Kill Bill, Vol. 1

Pourquoi ? Parce-que Quentin Tarantino.

Rien que le début m'impressionne à chaque fois. Dans l'église, avec la mariée soi-disant morte... vous savez ce que je veux dire. À cela s'ajoute la musique. Les films de Tarantino valent la peine d'être vus, déjà rien qu'à cause de la musique – je pourrais même me passer des images. Tarantino choisit la musique de manière si appropriée que j'ai parfois l'impression qu'il choisit d'abord la musique et crée ensuite un film autour d'elle.

Mais revenons à Kill Bill. N'oublions pas Uma Thurman, comme elle sort de son coma, réapprend à marcher, prend le Pussy Wagon et part se venger – unique. Quand elle « voit rouge » et que la fameuse sirène Kill Bill retentit, j'en ai encore la chair de poule, même après la neuvième fois. Comment elle obtient le sabre de Hattori Hanzo ou le combat avec les Crazy 88 – la performance de l'écolière, Gogo Yubari est également magnifique. Le scalp d'O-Ren est le point culminant de ce combat que seul Tarantino peut mettre en scène de cette façon.

« The Bride », comme le personnage de Thurman est affectueusement appelé dans le film, ne m'a jamais quitté depuis que j'ai vu le film pour la première fois. Même la deuxième partie ratée ne parvient pas à effacer la légende « Kill Bill ». Quand je pense à Tarantino, je pense à « Kill Bill ». Quand je pense à la vengeance, je pense à « Kill Bill ». Et quand je pense à mon film préféré, je pense à « Kill Bill ».

Sortie en salle : 9 octobre 2003
Recette : 180,9 millions de dollars

Ramon : Into the Wild

Un acteur grandiose, une bande sonore fantastique, des paysages à couper le souffle et une histoire qui m'émeut aux larmes à chaque fois. « Into the Wild » raconte l'histoire de Christopher McCandless (Emile Hirsch) dans son voyage d'auto-stoppeur et sa recherche de lui-même. Une inspiration pour tous ceux qui s'identifient peu à la société de consommation et qui s'efforcent d'adopter un mode de vie alternatif. Le bonheur, la colère, l'amour, la tristesse, la beauté et la mélancolie. Un film à ne manquer sous aucun prétexte.

Sortie en salle : 21 septembre 2007
Recette : 56,7 millions de dollars

Simon : Mary and Max

Un de mes films d'animation préférés. La technique de la pâte à modeler est similaire à « Wallace and Gromit », mais l'histoire est beaucoup plus sombre. Les personnages principaux sont la timide Mary, Australienne de huit ans, et Max, un autiste en surpoids de 44 ans souffrant d'Asperger qui, par hasard, commencent à correspondre.

Plein d'humour noir, le réalisateur australien Adam Elliot (qui a lui-même le syndrome d'Asperger) raconte une histoire chaleureuse et profondément tragique qui ne laisse personne indifférent. N'oubliez pas de regarder le film en VO pour entendre le grand Philip Seymour Hoffman.

Sortie en salle : 26 août 2010
Recette : 1,7 million de dollars

Kevin : This Must Be the Place

La rock star usée Cheyenne, jouée par Sean Penn, est en pleine odyssée à travers les États-Unis. Il est à la recherche du tortionnaire nazi présumé de son père décédé. Mais l'intrigue passe un peu au second plan. « This Must Be the Place » vit principalement des images calmes et de la brillante performance de l'acteur Sean Penn. Le tout est pimenté par une bonne dose d'humour bizarre. Je conseille ce film à tous ceux qui aiment la tragicomédie.

Sortie en salle : 24 août 2011
Recette : 11,9 millions de dollars

Carolin : Boyhood

J'adore « Boyhood ». Le film montre l'enfance de Mason et a été tourné pendant douze ans avec les mêmes acteurs. C'est non seulement impressionnant sur le plan cinématographique, mais cela donne aussi à l'histoire un caractère incroyablement intime et authentique. C'est presque comme si on regardait un documentaire. Le film me réchauffe le cœur et me rend nostalgique. La bande-son, contribue bien entendu à ce sentiment.

Sortie en salle : 5 juin 2014
Recette : 48,1 millions de dollars

Luca : The Imitation Game

L'année 1939. Les Alliés menacent de perdre la Seconde Guerre mondiale. L'arme secrète de la Wehrmacht : Enigma, un décrypteur inviolable pour le cryptage de messages secrets. Mais le mathématicien Alan Turing (Benedict Cumberbatch) a une idée révolutionnaire : et si seulement une machine pouvait venir à bout d'une autre machine ?

Alan Turing, qui était également logicien, cryptologue et informaticien, n'est pas seulement l'inventeur du célèbre test de Turing, dans Imitation Game. Il est également l'inventeur de l'ordinateur. Et un héros de guerre. Il n'a jamais de son vivant reçu la reconnaissance qu'il mérite. Au contraire : lorsqu'en 1952, on a appris par hasard que Turing était homosexuel – un crime à l'époque – il a été castré chimiquement et condamné à une thérapie hormonale avec de graves effets secondaires. Deux ans plus tard, il s'est suicidé. Il avait 42 ans.

« The Imitation Game » n'est pas seulement sa biographie. C'est un film sur le génie d'un homme humilié en dehors des normes sociales. Un homme qui a probablement sauvé la vie de millions de personnes, mais qui était considéré comme un criminel jusqu'au Royal Pardon en 2013. Le film est non seulement incroyablement passionnant, mais aussi déchirant et encourageant à la fois. Une demande d'humanité. Une reconnaissance beaucoup trop tardive, mise en valeur par la musique d'Alexandre Desplats.

Clairement mon film préféré.

Sortie en salle : 14 novembre 2014
Recette : 233,5 millions de dollars

Maintenant, c'est à vous de nous donner votre avis. Parmi les films cités ci-dessus, lequel est votre préféré ? Les votes sont ouverts.

Pour la semaine prochaine, le lecteur Masterland a eu l'idée faire une liste des meilleurs films dans la catégorie « mindfuck ». Donc des films avec un rebondissement que personne n'a vu venir.

Bien sûr, les spoilers seraient nombreux, mais ce serait tout de même amusant, non ?

Luca Fontana

Senior Editor

Luca.Fontana@digitecgalaxus.ch

Vivre des aventures et faire du sport dans la nature et me pousser jusqu’à ce que les battements du cœur deviennent mon rythme – voilà ma zone de confort. Je profite aussi des moments de calme avec un bon livre sur des intrigues dangereuses et des assassins de roi. Parfois, je m’exalte de musiques de film durant plusieurs minutes. Cela est certainement dû à ma passion pour le cinéma. Ce que j’ai toujours voulu dire: «Je s’appelle Groot.» plus

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