NAS maison : Unraid a redéfini mon infrastructure

Richie Müller

5/11/2025

Traduction : Martin Grande

Ce qui a commencé comme un projet spontané est devenu un labeur de longue haleine : la construction de mon propre NAS. Sept parties, un voyage et un serveur qui a grandi.

Le simple projet de remplacer mon Synology s’est rapidement transformé en une aventure technique, un projet d’apprentissage... mettant parfois ma patience à l’épreuve. Après des essais infructueux, des échanges de matériel et de nombreuses discussions avec la communauté, le système est aujourd’hui solide. Il m’offre plus de liberté que je n’en ai jamais eu avec mon ancien Synology.

Vous trouverez ici toutes les parties de ma série, dont les premières réflexions, la configuration finale avec Docker, les machines virtuelles et les applications communautaires.

Partie 1 : adieu difficile à Synology

Après des années avec mon Synology, j’ose franchir le pas vers le monde du bricolage. Je décide de remplacer mon Synology et vous explique mes préoccupations qui en découlent.

Partie 2 : les réactions de la communauté !

À peine la première partie est-elle en ligne que la communauté se manifeste avec des arguments, des mises en garde et des alternatives. Je me laisse convaincre de revoir mon plan et vous présente mon angle d’attaque.

Partie 3 : quel système d’exploitation choisir ?

Unraid, TrueNAS ou OpenMediaVault ? Je teste, compare et me décide. Je mets l’accent sur la flexibilité, la facilité d’administration et la performance.

Partie 4 : la recherche du bon matériel

De la RAM ECC au boîtier en passant par les processeurs économiques, je compose ma configuration pièce par pièce, je fais des erreurs et je reçois de précieux conseils de mes collègues.

Partie 5 : j’installe Unraid sur une clé USB et je m’énerve

L’installation devrait être un jeu d’enfant, mais ce n’est pas le cas. Cette démarche m’a presque désespéré et je vous partage les enseignements que j’en tire.

Partie 6 : ma configuration Unraid pour une vue d’ensemble et des performances maximales

Cette fois-ci, on passe aux choses sérieuses. Je planifie la structure de stockage, configure les partages et optimise les pools de cache, l’objectif étant une performance maximale et une vue d’ensemble au quotidien.

Partie 7 : mon serveur Unraid deviendra grand

Dans cette dernière étape, j’ajoute des applications communautaires à mon serveur Unraid, des conteneurs Docker, des machines virtuelles et des plugins. Mon serveur est maintenant polyvalent au quotidien. Il est modulaire, performant et paré pour l’avenir.

Mon NAS fait maison m’a appris bien plus que ce que j’attendais au départ, que ce soit sur le matériel, les réseaux, la virtualisation et même la patience. Aujourd’hui, Unraid fonctionne exactement comme je l’ai toujours souhaité. Il tourne de manière flexible, transparente et avec suffisamment d’espace pour expérimenter davantage.

Richie Müller

Teamleader Editorial

Richard.Mueller@digitecgalaxus.ch

Journaliste avec plus de 20 ans d'expérience, principalement dans le journalisme en ligne à différents postes. Mon principal outil de travail ? Un ordinateur portable de préférence avec une connexion Internet. J'aime tellement ces appareils que j'ai parfois tendance à démonter, réparer et remettre en état les ordinateurs portables et les PC. Pourquoi ? Parce que c'est amusant ! plus

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