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"Gran Turismo" : le classique de la PS1 peut encore le faire - Spécial rétro

PC Games
7/3/2022
Traduction : traduction automatique

Après 25 ans, "Gran Turismo" est toujours aussi populaire. Mais comment a commencé la success story de la série de jeux de course ? Qu'est-ce qui faisait déjà de "Gran Turismo" un titre d'exception en 1997 ?


Ceci est un article de notre partenaire de contenu "PC Games". Tu trouveras ici l'article original de Simon Hoffmann.


Avec "Gran Turismo 7", c'est un titre absolument top qui est sorti le 4 mars pour la Playstation 5 et la Playstation 4. La série de jeux de course de Polyphony Digital fait partie depuis des années des séries les plus importantes de Sony et peut se prévaloir d'une grande popularité et de bons chiffres de vente, même après presque 25 ans.

Le jeu de course comme jeu de rôle

À l'époque, la force résidait principalement dans le fait de rendre accessible un jeu de course réaliste. Car Gran Turismo n'est pas seulement un jeu de course classique, c'est aussi un jeu de rôle ! Une formule que l'on retrouve aujourd'hui dans les jeux Forza.

Les joueurs ont d'abord dû faire face aux fameux tests de licence. Le premier opus de la série propose certes un mode arcade, mais il est loin d'offrir autant de profondeur que le mode Gran Turismo. C'est dans cette campagne que se déroulent les tests de licence qui ont à la fois enthousiasmé et frustré les fans pendant des années.

Grâce à ces tests, les coureurs amateurs s'habituent petit à petit et de manière intuitive au contrôle de différents bolides. Même après presque 25 ans, les commandes fonctionnent toujours bien et offrent une base solide pour un grand plaisir de conduite. Les fans modernes de course automobile pourraient toutefois être dérangés par la croix directionnelle comme méthode de saisie principale. "GT1" a quand même un peu vieilli.

L'amour de l'automobile

Le parc automobile est également l'un des points forts du "Gran Turismo" original. Ce sont surtout les fans de voitures de sport japonaises et britanniques qui en ont eu pour leur argent à la fin des années 90.

Avec des marques comme Honda, Toyota, Subaru, Mitsubishi ou Aston Martin, le choix de voitures était varié et les possibilités de personnalisation encore plus nombreuses. Plus de 180 voitures pouvaient non seulement être achetées, mais aussi modifiées dans les moindres détails. Et ce, bien des années avant des jeux comme "Need for Speed : Underground".

Plus on avance dans le mode GT, plus on gagne d'argent, par exemple en gagnant des courses. Plus on dispose d'argent, plus on peut s'offrir des améliorations importantes pour sa voiture. Les joueurs et joueuses sont totalement libres de choisir parmi les nombreuses améliorations celles qui seront montées sur leur voiture, tant qu'ils ont suffisamment d'argent en poche.

Une course acharnée

Malgré ces possibilités, les courses constituent le cœur du jeu. Et là aussi, Gran Turismo a tout fait correctement pour un jeu Playstation de la fin des années 90. La maniabilité se trouve dans un juste équilibre entre la difficulté et le plaisir de conduire. Celui qui conduit sans réfléchir ou de manière déconcentrée ne gagnera pas de pot à moyen terme.

Mais celui qui découvre le bélier qui sommeille en lui peut, de temps à autre, faire sortir l'un ou l'autre adversaire de la piste. Ce n'est pas la meilleure façon de faire, mais c'est diablement efficace.

En 1997, "Gran Turismo" ne disposait pas non plus d'un véritable modèle de dommages, ce qui explique que de telles collisions se produisent régulièrement et ne correspondent pas forcément au setting sérieux. Néanmoins, il est toujours aussi amusant de rouler sur des circuits emblématiques comme Deep Forrest, Grand Valley Speedway ou Trial Mountain. À l'époque, on ne voyait pas encore de véritables circuits comme Daytona ou Le Mans.

Le charme du rétro-racer

Mais que seraient un bon racing, un game design motivant et des graphismes impressionnants à l'époque sans une bande-son évocatrice ? "Gran Turismo" est une série qui a toujours misé sur le "style". Que ce soit dans les menus iconiques, les intros cinématographiques ou la fantastique bande-son.

Grâce à tous ces éléments, la première partie possède déjà sa propre "vibe". Celle-ci semble nettement plus jeune et plus dynamique que dans les parties ultérieures de la série. Cela est peut-être dû au fait que la bande-son européenne et américaine est nettement plus rock que les sonorités jazz japonaises.

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