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Voici les meilleures bandes-annonces de jeux de la semaine
par Domagoj Belancic
Football Manager 26" sortira le 4 novembre. Avec le moteur Unity, une nouvelle interface et du contenu supplémentaire, la série prend un nouveau départ après une année de pause.
Sports Interactive ose le plus grand changement dans l'histoire de la série avec «Football Manager 26». Le 4 novembre 2025, le classique de Manager revient après une année d'absence, avec un nouveau moteur Unity, une interface remaniée, une licence de Premier League et l'intégration du football féminin.
Pour les fans, cela ne signifie pas seulement un saut graphique, mais un redémarrage en profondeur. Après l'édition annulée de «FM25», la pression est grande et les attentes sont donc élevées.
Avec «FM 26», la série fait définitivement ses adieux à son ancien moteur et s'appuie pour la première fois sur Unity. Le moteur de match en profite visiblement : les joueurs se déplacent de manière plus fluide, les stades semblent plus vivants et l'éclairage rend les scènes de jeu plus réalistes. Les animations des spectateurs et les textures du terrain montrent également des progrès évidents dans les premières vidéos.
Bien sûr, le FM reste un jeu de gestion et non un spectacle visuel comme un jeu d'action de football moderne. Mais pour les fans qui passent des centaines d'heures en mode match 3D, la qualité visuelle est essentielle à l'immersion.
Je ne regarde généralement que les moments forts en mode 3D. Pour mes ajustements tactiques, je préfère recourir à la vue 2D classique. Elle représente l'action de manière plus sobre, mais aussi plus précise, et correspond donc mieux à mes besoins que Manager.
La refonte de l'interface utilisateur est encore plus importante. Sports Interactive fait le ménage : Les menus et les interfaces entreprises ont été restructurés, les fonctions centrales comme les changements tactiques, les rapports de scouting ou les plans d'entraînement doivent être accessibles en moins de clics.
La vidéo officielle montre une interface plus claire et plus moderne. La navigation semble réduite, mais en même temps plus informative. Des années de critiques de la part de la communauté, selon lesquelles les menus étaient trop imbriqués, sont ainsi enfin entendues. Pour moi personnellement, ce changement pourrait faire la plus grande différence. Car rien ne consomme plus de temps dans Football Manager que de cliquer sans cesse entre la planification de l'effectif, le développement des jeunes, le scouting et l'aperçu financier. Bon, à part les éternels temps de chargement en semaine.
En termes de contenu, «FM 26» apporte deux grandes nouveautés. Pour la première fois, la Premier League est entièrement sous licence. Jusqu'à présent, même si tous les joueurs étaient représentés dans le jeu grâce à la fédération FIFPro, les logos officiels des clubs, les maillots et les vraies couleurs des clubs étaient absents. A la place, vous deviez vous contenter de symboles génériques et de patchs de fans.
Mais soyons honnêtes : cela faisait partie du jeu de toute façon. À chaque nouvelle partie, je téléchargeais directement les principaux patchs sur le forum des entraîneurs de maîtres et je les intégrais dans le jeu - presque un rituel de début de saison. Dans «FM 26», les logos, maillots et photos de joueurs apparaissent désormais officiellement directement dans le jeu. Un détail que les supporters anglais réclamaient depuis des années.
En outre, le football féminin est fermement intégré dans l'univers du jeu. Les clubs, les joueuses et les ligues font partie de la base de données et sont scannés, entraînés et développés comme d'habitude. La série s'ouvre ainsi à une dimension qui aurait dû être prise en compte depuis longtemps. Toutes les compétitions ne sont pas licenciées au lancement, mais la base est posée.
Pour «Football Manager 26» sur PC et Mac, la règle est la suivante : le jeu reste en principe exécutable sur un matériel plus ancien. Selon le développeur, quatre gigaoctets de RAM et une carte graphique d'entrée de gamme comme la GTX 960 suffisent, mais pour une expérience de jeu fluide, il est recommandé d'utiliser du matériel récent, comme douze gigaoctets de RAM et un GPU de milieu de gamme comme la RTX 2060.
Sur les consoles, le manager apparaît pour la première fois en version native current-gen. En revanche, l'édition mobile reste encore sur l'ancienne base et ne passe pas à Unity.
Je testerai longuement le «Football Manager 26» après sa sortie et je rédigerai une critique du jeu à ce sujet. Pour l'instant, je reste toutefois prudent. Les nouveautés semblent importantes, mais il est essentiel de savoir si le FM s'améliore réellement dans les domaines vraiment importants, notamment la mise en place des tactiques, les transferts, le scouting.
L'important est avant tout de savoir si les tactiques sont bien appliquées sur le terrain en mode Match. L'IA adverse, qui joue un rôle central dans presque tous les aspects du jeu - de la politique de transfert à la planification de l'effectif, en passant par le déroulement des matchs - est tout aussi déterminante.
En même temps, la question reste ouverte de savoir si les graphismes plus élaborés et la nouvelle interface ne vont pas plutôt freiner le flux de jeu. Ce n'est qu'après avoir joué les premières saisons que l'on saura si «FM 26» est vraiment la référence espérée.
Mes intérêts sont variés, j'aime simplement profiter de la vie. Toujours à l'affût de l'actualité dans le domaine des fléchettes, des jeux, des films et des séries.
Du nouvel iPhone à la résurrection de la mode des années 80. La rédaction fait le tri.
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