
Test de produit
digitec plays : Nous mettons le feu à tout dans "Overcooked 2
par Philipp Rüegg
Après la guerre nucléaire et la Réforme, le studio indépendant zurichois Blindflug prend de l'altitude. Dans "Airheart - Tales of Broken Wings", vous vous battez contre des pirates de l'air et des drones high-tech. Voyons combien de temps il faut pour atterrir en catastrophe. Le streaming commence aux alentours de 11h.
"Aujourd'hui, nous allons jouer à un jeu de pêcheur". C'est avec cette promesse que j'ai attiré mon collègue Ramon Schneider devant la caméra pour le let's play d'aujourd'hui. En tant que pêcheur passionné, il a immédiatement mordu à l'hameçon. Et mon affirmation n'est pas si fausse. Dans "Airheart - Tales of Broken Wings", vous incarnez Amelia, qui gagne sa vie en pêchant dans le ciel.
Elle ne peut pas s'asseoir et lancer sa canne à pêche comme Ramon le fait avec une bière bien fraîche. Elle se met aux commandes d'une machine volante qu'elle a bricolée et qui lui permet de s'élever de plus en plus haut et de plus en plus dangereusement, à la recherche des plus gros poissons. Le monde de Granaria, une ville au-dessus des nuages, est en pleine effervescence. Au cours de vos expéditions, vous serez harcelé de toutes parts. Des pirates de l'air, des drones et des boss particulièrement coriaces s'en prennent à vous. Je me suis senti un peu comme le capitaine Balou face à Don Kanaille. C'est génial.
Les tirs et les poissons collectés vous fournissent de l'argent et des matériaux pour acheter ou construire de nouveaux avions et équipements. C'est la seule façon de survivre aux ennemis de plus en plus coriaces que vous rencontrerez dans les niveaux les plus élevés.
"Airheart" sortira le 24 juillet sur PC et PS4 et sera le premier jeu du studio zurichois Blindflug à sortir également sur la console de Sony.
En tant que fou de jeu et de gadgets, je suis dans mon élément chez digitec et Galaxus. Quand je ne suis pas comme Tim Taylor à bidouiller mon PC ou en train de parler de jeux dans mon Podcast http://www.onemorelevel.ch, j’aime bien me poser sur mon biclou et trouver quelques bons trails. Je comble mes besoins culturels avec une petite mousse et des conversations profondes lors des matchs souvent très frustrants du FC Winterthour.