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digitec Playground Vol. 4 : Edelweiss Esports et Quantum Rocketeers sont les grands vainqueurs

Les balles volaient haut, tout comme les émotions. Lors du digitec Playground de samedi dernier, des joueurs professionnels et amateurs se sont affrontés pour montrer qui sont les champions « Rocket League ».

Près de 1000 joueurs ont participé à la quatrième édition de digitec Playground. Cela en fait le plus grand tournoi « Rocket League » de Suisse. Comme la dernière fois, il y avait un tournoi amateur et un tournoi pour les professionnels. Le coup d'envoi a été donné avec la version amateur.

Gagnant tournois amateurs

Sur les quelque 35 équipes, Cpt Crunch CH, Picnici et PoolPartyArtyBoy de la team Edgar Ed ont fini par affronter Nidoxen, Hausi et Psydetrix de la team Quantum Rocketeers. Ces derniers ont gardé la tête froide lors du match décisif et ont sereinement remporté le tournoi amateur avec un 0:2.

Finale : Edgar Ed vs Quantum Rocketeers 0:2

Le classement final peut être consulté ici.

Gagnants du tournoi pro

Pour la finale du tournoi pro, les équipes devaient se qualifier. Là, nous avons déjà vécu une première surprise. L'outsider Jacques Ouzi a battu le grand favori mYinsanity. Pour la finale, ils ont changé leur nom en Aesra’s Vikings. Les quatre équipes suivantes se sont donc retrouvées en finale :

  • Aesra’s Vikings avec Mihno, Arcko et Avyiest
  • Irie Legacy avec Pipifax, iRivelA et Frosty
  • Edelweiss Esports avec Zaphare, Mirror et POLAR
  • Slightly Salty avec Thimoinho, Seless et jujuju

Dans la petite finale, Irie Legacy s'est assuré la troisième place grâce à une victoire 3:1 contre Slightly Salty.

Un résultat assez clair est apparu lors de la finale. Là, Edelweiss Esports a écrasé les nouveaux venus, Aesra’s Vikings. Avec un 4:0, l'équipe autour du capitaine Zaphare a assuré la victoire du tournoi.

Finale : Edelweiss Esports vs. Aesra’s Vikings 4:0

Félicitations à tous les participants et bien sûr aux gagnants.

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Enfant, je n’avais pas le droit d’avoir de console. Ce n’est qu’avec l’arrivée du PC familial 486 que le monde magique des jeux vidéo s’est ouvert à moi. Aujourd’hui, je compense largement ce manque : seuls le temps et l’argent m’empêchent d’essayer tous les jeux qui existent et de remplir mon étagère de consoles rétro rares. 


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