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Des groupies plutôt que des selfies : comment construire une boîte à photos de fête

David Lee
14/12/2018
Traduction : traduction automatique
Collaboration: Fabian Künzli

Fabian a construit un photomaton avec un collègue. Et si bien que le projet sert ici d'exemple sur la façon dont vous pouvez réaliser quelque chose de ce genre.

Fabian Künzli travaille chez Digitec Galaxus AG en tant que Category Planning Specialist dans les domaines du réseau, des serveurs, de l'électrotechnique et de la robotique. Il se sent à l'aise dans ces domaines. Dans la photographie, un peu moins, mais ce n'est pas un problème. Car un photomaton est en principe un système informatique composé de plusieurs appareils reliés entre eux - dont un appareil photo.

L'idée de construire lui-même un photomaton vient à Fabian lors d'un mariage. Il est fasciné par la façon dont cette simple boîte enthousiasme les gens. Avec son collègue Sam Dumelin, il se met au travail.

Pour nous, à la rédaction, Fabian est une aubaine. Car à l'origine, nous voulions construire nous-mêmes un photobox. Ou du moins de vérifier si nous en étions capables. Et ce pour deux raisons:

  1. Pour que nous puissions vous expliquer comment faire.
  2. Pour les utiliser lors de nos propres fêtes d'entreprise légendaires.

Dans mes premières recherches et réflexions, je ne découvre que des problèmes. Puis, par hasard, je découvre le projet de Fabian. Lorsqu'il me montre sa boîte terminée, je réalise que lui et Sam ont déjà résolu tous les problèmes que je voyais venir.

Défi n°1 : l'imprimante

Il faut bien sûr une imprimante qui imprime sur du vrai papier photo. Personne ne veut d'une note de bureau en lambeaux en guise de souvenir. Cela limite le choix. Mais pour une utilisation lors d'une grande fête, l'imprimante doit aussi être rapide, sinon il y aura des files d'attente au stand photo. Les imprimantes à papier photo que je connais impriment une à deux photos par minute. C'est trop peu pour cet usage.

La boîte photo de Fabian contient une imprimante thermique professionnelle destinée à être utilisée dans les magasins de photos ou les kiosques. En d'autres termes, pour un volume plus important. Elle avale un rouleau de papier photo qui permet de prendre 400 photos. La première photo est sortie en dix secondes. Ensuite, c'est encore un peu plus rapide, car l'imprimante n'a pas besoin de chauffer.

L'imprimante est facilement accessible via une petite porte séparée dans la boîte. Cette ouverture est également le bac de sortie pour les photos, joliment éclairé par des LED. Mais Fabian s'agace de voir que les photos sont recrachées la tête en bas et qu'il n'a pas encore réussi à trouver une solution à ce problème. L'homme est apparemment perfectionniste.

Défi n°2 : le fonctionnement

Un photomaton a besoin d'un écran sur lequel les photos sont visibles. Il est préférable de le faire avant la prise de vue pour que les gens sachent comment se placer. Si vous prenez une tablette comme écran, vous avez également un moyen de contrôler l'appareil photo et l'imprimante. C'était mon idée.

Un iPad est également disponible pour les photos prises. Les invités qui ont déjà pris leur photo et qui souhaitent la regarder et peut-être l'imprimer ne se retrouvent donc pas sur le chemin de ceux qui sont en train de la prendre. Et comme ils ne sélectionnent sur l'iPad que les photos qu'ils aiment pour les imprimer, le rouleau de papier de 400 photos devrait facilement suffire pour des fêtes plus importantes.

Comment fonctionne la boîte

Fabian a également installé et connecté des ventilateurs de PC dans le boîtier. Certes, ils ne sont probablement pas nécessaires. Mais un nerd informatique de droite ne peut tout simplement pas s'en empêcher.

Un logiciel Photo Booth est installé sur le NUC. Selon Fabian, il existe de nombreux programmes spécialisés de ce type. Ici, c'est DslrBooth qui est utilisé. Fabian l'a choisi entre autres parce qu'il comprend une application iPad qui fonctionne de manière optimale avec le logiciel de l'ordinateur.

L'ordinateur est relié par USB à une pédale. Fabian dit qu'il existe aussi des pédales sans fil. Mais le câble reste pratique, dit-il, car il permet de ne pas perdre la petite chose noire. Il a acheté son exemplaire chez le grand méchant concurrent qui commence par la lettre A.

L'accessoire : l'appareil photo

L'appareil photo est placé sur un mini trépied avec un niveau à bulle intégré pour une orientation précise. Le flash est fixé sur le dessus de la boîte à l'aide d'une rallonge. Comme modeleur de lumière, un diffuseur pas trop grand est simplement enfilé sur le flash.

L'ensemble de la boîte est vissé sur un trépied en bois massif, dans lequel se trouve encore une fois un niveau à bulle. Le trépied peut supporter jusqu'à 50 kilos. La boîte est loin d'être aussi lourde, mais elle est sûre. Fabian : "Même une personne ivre peut s'y cogner sans que tout se renverse". La boîte est donc à l'épreuve des fêtes.

Louer ou construire soi-même?

Nous utiliserons cette boîte lors de notre prochaine fête d'entreprise. Connaissant nos soirées, ce sera un test d'endurance. Photobox, montre-nous ce que tu peux faire!

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Mon intéret pour l'informatique et l'écriture m'a mené relativement tôt (2000) au journalisme technique. Comment utiliser la technologie sans se faire soi-même utiliser m'intéresse. Dans mon temps libre, j'aime faire de la musique où je compense mon talent moyen avec une passion immense. 


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