
Left Behind aurait pu se briser le cou dans plusieurs chausse-trappes et, pour être honnête, j'ai vu le DLC plus d'une fois avec un pied au-dessus du gouffre en amont. Inutiles, presque blasphématoires, si je me réfère aux deux ou trois heures passées. Pas beaucoup de temps, même pour un DLC autonome à dix euros, sauf que The Last of Us n'a jamais été très facile à ranger dans de telles cases...